Entrevu avec María Félix
María Félix: une icône du cinéma mexicain
par Getze Yáñez
Entrevu avec María Félix
Née à Sonora le 8 avril 1914, l'actrice mexicaine María
Félix, incarne l'archétype de la femme fatale latine. Après des débuts aux
débuts dans les années quanrante dans des films de Fernando de Fuentes comme La
Mujer sin alma (1943), elle triomphe dans Enamorada de Emilio Fernandez en
1946.
Star en Amérique latine, María Félix ne se laisse pas
tenter par Hollywood et préfère tourner en Europe avec Richard Pottier (La
Belle Otero , 1954), Jean Renoir (French Cancan, 1955), Yves Ciampi (Les Héros
sont fatigués, 1955) ou encore Luis Buñuel (La fievre monte a El Pao, 1959).
Malgré son succès elle interrompt sa carrière dès la fin des années soixante
après avoir fait un riche mariage[1].
Journaliste : Bonjour, madame. Moi, je suis enchanté d’être
avec vous aujourd’hui.
Félix : Salut. Moi, je suis très contente
d’avoir reçu l’invitation.
Journaliste : Merci, madame. D’accord, on va commencer
avec la premiere question. Quelle a été votre inspiration pour devenir une
actrise?
Félix : La première et la plus importante
raison est l’affinité que je ressens pour l’art. Aussi, depuis que je suis une
fille, j’aime vraiment tout ce qui tourche au cinéma, au théâtre et aux
artistes.
Journaliste : Bien sûr, et quelle est votre charactéristique
la plus remaraquable?
Félix : Moi, je crois que je n’ai pas seulement
une charactéristique, ils sont plusiere des virtuees que peuvent me décrir. Une
de mes charactéristiques la plus remarquable peut être c’est ma personnalité
indomptable avec les hommes. Ils pensent qu’ils sont le centre du mond et nos
propriétaires, mais je ne suis plus an object pour me retenir. Pas de tout!
Jornaliste : Bien dit, madame. Est-que vous avez imaginé
quelque fois le magestueux succès dans votre carrière artistique?
Félix : Dans mon esprit, j’avais toujours
un objectif appelé succès, mais je ne savais pas ce que j’allais accomplir. Alors,
après quelques années de travail, j’ai su que ces réalisations artistiques n’étaient
pas seulement pour moi, mais aussi pour tout mon peuple et mon pays.
Journaliste : En ce qui concerne votre participation dans
l’industrie francaise des films, croyez-vous que la pronunciation c’est un
facteur determinant pour avoir de succès?
Félix : Pas de tout! Je pense que c’est
une stupidité totale. Je considère que le talent est la chose la plus
importante. Sourtout quand ce que vous essayez de promouvoir est un bon message
et pas seulement quelque chose de superficiel comme la beauté.
Journaliste : Oh, je vois c’est bon. Alors, pour finir l’entrevu,
madame, si vous donniez de conseil aux femmes jeunes, quel serait-ci?
Félix : Je ne pourrais rien vous dire
parce que tout le monde sait comment faire des erreurs tout seul. Mais si je
peux commenter quelque chose, c’est qu’on ne devrait jamais se rendre à l’adversité.
Il y aura des choses qui semblent difficiles et inaccessibles, mais la
détermination et la disciplina seront des facteurs clés dans la réalisation des
objectifs.
Journaliste : Merci beaucoup d’avoir accepté cette
interview avec nous. Ce fut un réel plaisir de vous avoir avec nous dans cet
espace et nous espérons que ce n'est pas la dernière fois que vous nous
réjouirez de votre présence.
Félix : Merci de m'avoir invité et je
continuerai volontiers à venir tant que vous m'inviterez à ce programme.
Comentarios
Publicar un comentario